Paul de Roux,
rouvert ce matin et sur la table depuis hier soir. Entrevoir.
Une manière de
dialoguer avec Julien Bosc. De retour avec le vent-cisailleur de ces jours.
Deux phrases
courtes de Paul de Roux éclairent la page ouverte : « Le poète
n’existe pas. Car il n’a aucun pouvoir sur la poésie. »
Tout d’un coup,
mon goût médiocre de certaines choses, ma vie banale ont repris un peu de sens
et moi, un peu d’espoir. Reste à poursuivre une inexistence pas toujours facile
à accepter de conduire à sa fin.
Le vert a tout
envahi, un peu de gris avec lui. Te
quiero, verde.
Corbeau, et
merle dont l’amie s’accompagne et que le poète croise.
« La nuit
n’est pas finie que le merle parle un peu
comme dans un
ravin, dans l’ombre, très bas :
petits
crissements de noix dans le poing… »
25 avril
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